Un autre ciel


Le ciel, il faut le ciel vaste comme le vide
A mon front ivre d’air, à mon cœur fou d’azur !
Le ciel sublime, avec son grand soleil d’or pur

Albert Mérat, Le ciel. Recueil : Les chimères

J’ai vu. A la fin tous ces nuages aux formes fantastiques et lumineuses, ces ténèbres chaotiques, ces immensités vertes et roses, suspendues et ajoutées les unes aux autres, ces fournaises béantes, ces firmaments de satin noir ou violet (…)

Charles Baudelaire, A propos d’Eugène Boudin, Salon de 1859